lundi 18 décembre 2006

Quand l'océan ne chantera plus...

Une vie vaut une vie, et chaque être sensible - la souris ou l'éléphant - ressent son existence comme la chose la plus précieuse du monde.

Reste qu'à nos yeux, il y a des animaux plus emblématiques que d'autres sur la beauté et la souffrance du monde animal.
Les baleines et les grands singes font partie de cette faune capable d'émouvoir l'opinion publique, bien plus qu'un castor par exemple. Ils nous émeuvent par leurs tailles, leurs grâces, leur chants, leurs expressions, leurs mythologies...
Mais que pèse tout ce symbolisme face à l'ogre économique qui ne s'embarasse pas de sentiments, l'ogre économique qui considère la plante, ou l'animal, aussi beau soit-il, comme une simple "ressource" (Que je hait ce mot!).

Le Japon est connu pour ses pratiques de génocides baleinières, sous de pseudos pretextes scientifiques, alors que le véritable enjeu est la commercialisation du steack de baleine et l'éradication de la "concurrence baleinière" pour leur propre industrie de pêche. Quelle décadence...

C'est ici qu'il faut rendre hommage aux têtes brûlées de Greenpeace qui, avec leur petits moyens, risquent leur vie pour saboter cette chasse sanguinaire, et informer le public de l'horreur de ces pratiques.

Non seulement, l'océan serait bien triste, si un jour ne résonnait plus le merveilleux chant des cétacés, mais ce serait aussi une véritable catastrophe écologique, puisque les cadavres de vieilles baleines sont une source essentielle de nourriture pour les fonds marins les plus abyssaux, où la lumière ne passe jamais, et où la vie, semble vraiment venir d'un autre monde...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'ai mieux que greenpeace ! qui récemment à dit "comprendre les pêcheurs japonnais" !!!!!
Le capitaine Paul Watson et le Sea Shepherd ! de vrais sauveurs
http://www.seashepherd.org/
Lui c'est un vrai combat qu'il mène et depuis plus de 30 ans !!